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Blackwater: La crue de Michael McDowell

Ce roman des années 80 réédité par les éditions Monsieur Toussaint Louverture fait le buzz!

Je t’entends, toi le.a sceptique.

Celui.le qui pense trop fort.

Je t’entends te dire mentalement: « Encore une qui a succombé au matraquage et à la campagne marketing sans faille des éditions Monsieur Toussaint Louverture ».

Pense ce que tu veux.

Tu as grandement raison.

Et tu sais quoi?

J’ai kiffé à donf!

Premier de 6 tomes, La crue est un petit bijou visuel.

Blackwater est absolument partout depuis des semaines sur #bookstagramfrance. Tout le monde ou presque vente cette fabuleuse couverture (les autres sont canons également), cette histoire, ce découpage…

J’avais deux options:

Option 1: fuir

Option 2: me faire mon propre avis

Je n’ai pas résisté à la beauté de l’objet, à l’histoire intrigante, au format poche léger et pratique, au prix mini de 8, 40€ le livre… Comment ne pas succomber à ce merci écrit juste à côté du prix?

Et tu sais quoi? J’ai bien fait.

Un petit aperçu…

Dire que j’ai été emportée dès les premières pages serait un pieux mensonge.

Non, non.

La magie Blackwater a progressivement pris possession de moi.

Son atout coeur est sans hésitation le personnage d’Elinor.

Sortie de nul part, la jeune femme aux cheveux de feu est une des rescapées de la crue. L’eau est sortie de son lit et a inondé la ville de Perdido (mais quel nom…) en Alabama.

Nous sommes en 1919, à la croisée entre deux ères… La première guerre mondiale a tiré un trait sur les vestiges du 19ème siècle. Sauvée des eaux ou presque, Elinor s’installe dans la ville.

Elle conquiert le coeur de tous les habitants…à l’exception de celui de Mary-Love. Notable de la ville, Mary-Love Caskey est la mère de l’héritier de la scierie. Elle voit d’un mauvais oeil l’attachement de son fils Oscar pour cette Elinor venue de nul part.

A-t-elle raison d’y voir un mauvais présage?

Le résumé de l’éditeur

Tout au long de ma lecture, j’ai mordu de plus en plus à l’hameçon. Je suis à présent tout à fait accro et j’ai envie de savoir qui est vraiment Elinor? Quelles sont ses réelles motivations?

L’écriture de Michael McDowell est agréable et envoutante. A l’image de cette jeune femme mystérieuse…

Alors? Prêt.e à te laisser posséder par Blackwater? Plutôt réservé.e face à cette folie littéraire? Dis-moi tout!

3 commentaires sur “Blackwater: La crue de Michael McDowell

  1. Tu me donnes envie mais non je ne vais pas succomber à la vague black water. Et pourtant, pas plus tard qu’hier, j’avais les volumes dans mes mains dans un magasin Cultura où je fuyais la chaleur (42°) et j’admirais les couvertures de Monsieur Toussaint l’ouverture et ce petit format qui aurait été si facile à glisser dans mon sac à mains. Il aurait fallu acheter tous les vols dispos mais c’était trop comme cet engouement est trop pesant, trop directif. Bonne lecture ! Hâte de connaître la suite en te lisant

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